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René Hubert (1761-1850)

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Signature de René Hubert
Signature de René Hubert

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Sommaire

[modifier] 1761-1789

  • 5/03/1761 Naissance à Chemiré-le-Gaudin de René Claude Hubert, fils de Pierre et Catherine Hatton. Pierre Hubert est marchand boucher.
  • 6/03/1761 Baptême, le parrain est René Le Blanche et la marraine « Madelaine pour Margueritte Chausson »
  • 9/03/1785 Décès de sa mère Catherine Hatton à Chemiré-le-Gaudin
  • 22/11/1785 Contrat de mariage entre René Hubert et Gabrielle Charlotte Lefeuvre.
    • Apports des époux : René Hubert apporte à la future communauté de biens la somme de 400 livres que son père lui a payée « en bonnes espèces d’argent du cours de ce jour tant pour ses droits maternels que par avancement de droits successifs ». Gabrielle Lefeuvre apporte de son côté la somme de 1000 livres, payée par ses parents par avancement de droits successifs « en bonnes espèces d’or et argent ayant cours », et une armoire garnie évaluée à 300 livres qui lui a été délivrée et dont elle demeure dotée. Les 1400 livres et l’armoire entreront dans leur communauté de biens un an et un jour après le mariage comme le veut la coutume du Maine. Leurs vêtements resteront le bien propre de chacun.
    • Gabrielle Lefeuvre pourra renoncer quand elle le voudra à la communauté et reprendre son apport et ses biens propres acquis ensuite, sans être tenue responsable des dettes de la communauté.
    • Gabrielle Lefeuvre aura également douaire sur les biens de René Hubert si celui-ci décède. Le douaire est une portion des biens qu’un mari lègue à sa veuve pour son entretien. Ces biens reviennent ensuite aux enfants.
    • Le contrat stipule qu’en cas de décès de l’un ou de l’autre des futurs sans enfants issus de leur mariage, le survivant prendra la somme de 1000 livres et le surplus sera partagé entre les héritiers.
  • 22/11/1785 René Hubert, boucher, se marie à Louplande avec Gabrielle Charlotte Lefeuvre, fille de Jean Lefeuvre, laboureur et marchand, et Renée Gaignon. Sont présents au mariage :
    • du côté de l’époux : Pierre Hubert, père, Madeleine Hubert, sœur, Anne Hubert épouse René Deshais , Catherine Hubert épouse Jean Prémartin, Marie Hubert épouse Jean Fouillet, sœurs et beaux-frères, Thomas Lebourdais et Michel Hatton, oncles, Guillaume Hatton, cousin germain.
    • du côté de l’épouse : Jean Lefeuvre et Renée Gaignon, père et mère, Jean, René, Pierre, Nicolas, Catherine, Marie, Renée épouse Mathurin Plot, frères, sœurs et beau-frère, Marie Lefeuvre épouse Michel Bellanger, Renée Lefeuvre épouse Julien Descheres, Louis, Pierre, Louise Gagnon, oncles et tantes, Renée Quéru veuve Jean Lefeuvre, grand-mère.
  • 1786 Pierre Hubert loue à son fils René Hubert une maison, une boucherie et 9 portions de terre.
  • 1/10/1786 Etat des lieux des biens loués par Pierre Hubert à René Hubert.
    • Le principal bâtiment servant de maison comprend
      • Une chambre basse. L’expert a remarqué que la porte d’entrée est en assez bon état et ferme à clef ; que la croisée sur la cour est garnie d’un châssis à verre et en petit bois, et d’un volet avec des vitres dont un des carreaux est cassé ; qu’à la cheminée d’en bas il y a un gond de fer pour mettre une crémaillère, qu’au contrecœur de la dite cheminée il y a une pierre au moins de deux pieds de largeur et hauteur dont le milieu est creusé par le feu au moins de trois pouces, et qu’elle est de peu de valeur, que le devant de la dite cheminée est pour la plus grande partie dégradé de ses enduits, et que pour réparer le tout il faut au moins douze livres ; que la bouge du four est de briques en partie brûlées et en mauvais état, ainsi que l’aire de la place où il y a beaucoup de pavés cassés et défaillants ; que la tablette du four est usée et brûlée au moins de deux pouces ; que le dedans des murs ont été enduits lors de leur construction où il manque environ une demi-toise qu’il a estimée à dix sols. qu’au jambage de ladite porte il manque une pierre de taille d’environ quinze pouces ;
      • Une chambre haute. L’expert a remarqué que la porte de la chambre haute ne se ferme point à clef quoiqu’il semble qu’elle se soit fermée autrefois ; que les enduits des murs de ladite chambre, les croisées, les volets et le pavage, sont en passable état, mais qu’il y a plusieurs carreaux de cassés et fracturés ;
      • Deux greniers au-dessus. L’expert a noté que la porte du bas de l’escalier pour monter au grenier se ferme à clef ; que les marches dudit escalier sont de bois et bien usées par vétusté ; que l’aire du premier grenier est pavée et en assez bon état ; que l’aire du second grenier n’est point pavée, est en mauvais état, est percée et qu’en plusieurs endroits la terrasse est tombée ;
    • Un bâtiment servant de boucherie.
      • Le bâtiment. L’expert a remarqué qu’il est sans plancher ; que les murs sont dégradés à trois, quatre et cinq pieds de hauteur ; que l’aire n’est pavée que de pierres brutes inégales ; que la porte se ferme de clef ; que la croisée se ferme d’un contrevent ;
      • L’écurie. L’expert note que la porte de l’écurie se ferme aussi à clef ; qu’il y a dans ladite écurie un mauvais râtelier ; et que les murs sont aussi dégradés à quatre ou cinq pieds de hauteur.
      • Le toit à moutons. L’expert indique que la porte du toit aux moutons se ferme à clef ; qu’il n’y a point de creche ; que les murs sont aussi dégradés à quatre pieds de hauteur et plus.
      • Le toit à porcs. La porte du toit à porcs ne se ferme point à clef et les enduits y sont dégradés à deux pieds de hauteur.
      • Le pressoir (ce pressoir appartient à René Hubert). La porte du pressoir consiste dans une mauvaise barrière de très peu de valeur.
      • La cave. La porte de la cave se ferme à clef ; il se trouve dans ladite cave de vieux et mauvais bouts de chantiers usés ; à l’ouverture de ladite porte et au soupirail donnant sur la cour il y a des pierres défaillantes et d’autres rompues ; les murs n’ont jamais été enduits ; même qu’il y manque plusieurs pierres.
      • Le jardin. L’expert remarque que le jardin se ferme d’un clan ; qu’à l’entrée du côté du midi il y a une faible haie mutuelle ; que le surplus est un fossé d’un pied et demi de profondeur et que sur le talus il y a peu de plant vif ;
      • La cour. L’expert indique que la cour n’est point close sur la rue ; qu’il y a des concavités et que les murs autour sont dégradés au moins d’un demi pied de hauteur.
    • Une portion de terre nommée la Griotte, contenant un journal et demi ou environ. L’expert constate qu’elle est en écot d’orge ; que la haie d’en bas est mutuelle et en mauvais état ; que celle du côté du chemin est aussi en mauvais état et que les racines des épines sont dégradées et déssourées  ; qu’elle est sur roc et ne se répare qu’avec des outils tranchants ; que le talus n’a que trois pieds de hauteur et qu’à l’entrée de ladite portion il n’y a point de clan.
    • Une portion de terre nommée le Grand Champ contenant un journal, non compris une ruelle d’exploitation. L’expert constate qu’elle est fermée à l’entrée de deux mauvais clans ; que les haies et fossés d’un côté et bout, sont en passable état.
    • Un cloteau de terre nommé de Chauvigné contenant un quart de journal ou environ. L’expert note qu’il est non clos d’un bout, que les haies sont en passable état où il y a de petits fossés.
    • Le champ du Mont contenant un journal. L’expert indique qu’il est en écot de retour, dont les haies autour dépendent à l’exception d’un petit bout par en bas ; qu’il n’y a que du bois de pied de peu de valeur [par vice de fonds ?], et que pour réparer les haies, il a arbitré huit journées.
    • Le clos du Mont. L’expert y a vu et visité un quartier de vigne divisé en deux planches coupées, il a remarqué que ladite vigne a eu ses façons ordinaires ; qu’il y a plusieurs places dénuées de plants, surtout un bout de planche dans la longueur de soixante pieds ou environ où il y a très peu de plants ; et que le surplus n’est planté qu’à moitié, au tiers et au quart ; dans ledit clos un autre quartier de vigne en quatre bouts de planches a aussi eu ses façons ordinaires et est dans le même état que le premier.
    • Le champ nommé des Daragonières contenant un journal et demi ou environ. L’expert indique qu’il est en écot de blé guéret ; que les haies sont en assez bon état, qu’il n’y a point de clan à l’entrée et pour réparer où besoin est, il a arbitré sept journées.
    • Le clos de [Cesloin ?] paroisse d’Athenay. L’expert y a visité trois quartiers et demi de vigne ou environ dans un tenant ; ils ont eu leurs façons ordinaires et sont en passable état, sinon il y a un bout par en haut et trois autres bouts de planche où il y a peu de plants ; le surplus est planté à moitié et aux deux tiers ; les haies qui en dépendent ne sont par le haut plantées qu’à moitié, il y a de petits fossés et de petits talus.
    • Le clos de Haute Verdelle. L’expert y a vu un quartier et demi de vigne en un tenant qui a eu ses façons ordinaires ; les raies ne sont par assez profondes ; il faut les creuser ; et rapport aux places sans plant, ladite vigne n’est plantée qu’au quart, le fort rapportant au faible. Mais si lesdites raies ne sont pas bêchées par le propriétaire, le fermier ne sera tenu qu’aux closes de son bail.
    • Le clos des aires. L’expert y a vu un quartier de vigne en cinq planches coupées et situées au bas dudit clos vers nord, par conséquent sujettes à geler sans que le fermier puisse en être responsable ; qu’il y a plusieurs endroits sans plant, et qu’elle n’est plantée qu’au tiers ou au plus à moitié.
    • Un petit cloteau de terre au dessus du susdit jardin, contenant une journée de bêcheur ou environ, semé en luzerne ; L’expert indique que les haies des deux côtés sont de petits talus ; que les fossés ne sont que d’un pied de profondeur et qu’il y a peu de plant vif sur lesdites haies ; que les haies des deux bouts sont mutuelles et faibles de plants, et pour réparer lesdites haies il a arbitré trois journées.
L’acte stipule que René Hubert est tenu de laisser à sa sortie les biens en l’état ou de payer les réparations d’éventuelles dégradations à sa sortie du bail. Les bâtiments ne contiennent aucun meuble, la boucherie aucun ustensile, il ne subsiste aucun fumier ni fourrage, mais seulement les pailles des ensemencés récoltés cette année. L’acte stipule, par ailleurs, que comme les terres sont trop écartées et qu’elles ne se peuvent semer par cottaisons, René Hubert pourra les prendre sans distinction, mais que la dernière année de son bail il laissera au moins deux journaux en repos. Et comme il y a peu de bois sur les haies ci-dessus mentionnées, il est encore convenu que René Hubert laissera le plus vieux en sera de cinq ans.
  • 11/11/1786 Naissance de son fils René Pierre Gabriel à Chemiré. Son grand-père Pierre Hubert est son parrain et sa grand-mère Renée Gaignon est sa marraine.
  • 25/12/1787 Naissance de sa fille Gabrielle Catherine à Chemiré. Son grand-père Jean Lefeuvre est parrain et sa tante Catherine Hubert est sa marraine.

[modifier] 1789-1804 Sous la Révolution

  • 7/11/1789 Naissance de sa fille Renée à Chemiré. Son oncle Jean Prémartin est parrain et sa tante Renée Lefeuvre est sa marraine.
  • 2/03/1790 René achète à François Bigot une maison et un jardin situés au bourg de Chemiré :
    • une petite maison composée d’une chambre basse à feu, une cave à côté, avec les issues qui en dépendent, joignant d’un côté la rue du bourg de Chemiré pour aller au presbytère dudit lieu, de l’autre côté la maison de René Hubert, d’un bout la cour de ce dernier et à l’autre bout la terre dépendant de la cure de Chemiré.
    • une portion de jardin à proximité de la dite maison contenant environ deux journées d’homme bêcheur, joignant d’un côté le jardin de René Hubert, de l’autre côté le jardin et le pressoir du Sieur Surmont, d’un bout la cour de René Hubert et de l’autre bout la terre de la cure dudit Chemiré.
Les biens étant sur le fief de la cure dépendant de la terre de la Sauvagère, René Hubert devra payer les cens, rentes, charges et devoirs seigneuriaux et féodaux anciens et accoutumés.
François Bigot se réserve l’usage de la cave et le droit de battre son blé dans la cour de la maison pendant sa vie seulement.
La vente est faite pour le prix de 800 livres payé le jour même.
  • 1791 Les biens de l’église ont été nationalisés et sont vendus aux enchères. René Hubert achète le champ Bignon qui appartenait à la cure de Chemiré-le-Gaudin pour 890 livres.
  • 7/09/1791 Naissance de son fils Pierre Jean à Chemiré. Il est pour parrain son oncle Jean Lefeuvre et pour marraine sa tante Marie Hubert.
  • 24/09/1792 Gabrielle Lefeuvre accouche d’un enfant qui est ondoyé à la maison pour péril de mort et qui meurt peu après.
  • 17/05/1794 Le curé de Chemiré-le-Gaudin, Louis Michel Salomon Branchu, fait cession à René Hubert d’une pièce de terre, nommée le champ de l’Autel, qu’il avait achetée pour 4300 livres lors des ventes de biens nationalisés. Ce champ, situé à Chemiré, dépendait de la cure de cette commune. Il contient environ 8 journaux. Le contrat stipule que Louis Branchu se réserve sur cette terre l’herbe de deux journaux, jusqu’à ce qu’ils soient labourés, et deux noyers abattus qu’il fera enlever. René Hubert devra payer la contribution foncière et le restant du prix de vente du champ qui est dû au District du Mans.
  • 14/09/1796 Naissance de sa fille Marie Magdelaine dans leur maison située au bourg de Chemiré-le-Gaudin. Témoins à l’acte de naissance : son oncle Mathurin Plot et sa tante Magdelaine Hubert.
  • 4/11/1798 Naissance de son fils Louis Jean dans leur maison située au bourg de Chemiré.
  • 10/04/1799 Jean Lefeuvre loue à son gendre René Hubert 3 pièces de terre contenant ensemble environ quatre journaux. Il s’agit du champ des Bourgeons, du champ de la Marre et du champ des Menatres, situés tous trois à Louplande. Le « bail à ferme » dure 6 ou 9 années. René Hubert devra en « user en bon père de famille », fumer, cultiver et ensemencer ces terres suivant l’usage, les rendre tous en chaume, ainsi qu’il les a trouvés et en « payer de ferme » chaque année la somme de 90 francs en numéraires métalliques, à deux termes et paiements égaux de 6 mois en 6 mois.
  • Vers 1800 Les chouans réquisitionnent de la viande chez René Hubert. En échange ils lui donnent un "bon royaliste" de 904 livres signé Michel, commandant.

[modifier] 1804-1815 Sous le 1er Empire

  • 8/06/1804 Naissance de son fils Jean à Chemiré-le-Gaudin. Témoins : Jean Prémartin et Marie Anjubault, veuve Michel Cosset
  • 8/12/1805 Naissance de sa fille Constance au Bourg de Chemiré.
  • 24/10/1806 Son fils René Pierre part pour l’armée. Il a été désigné pour le 11e régiment d’infanterie de ligne stationné à Mantoue.
  • 26/10/1806 René Pierre déserte pendant le trajet vers Mantoue.
  • Vers fin 1806-19/01/1808 René Hubert et Gabrielle Lefeuvre cachent leur fils déserteur dans une cachette aménagée sous le four de leur maison.
  • 19/01/1808 Des gendarmes qui recherchent activement les déserteurs ont obtenu des renseignements sur les Hubert. Ils se rendent donc ce 19/01 à leur domicile. Ils « font sommation » à René Hubert de leur dire si son fils est chez lui. Comme la réponse est négative, les gendarmes fouillent la maison et découvrent la cache qu'ils font démolir par un maçon. Les Hubert père et fils sont emmenés au Mans et emprisonnés à la maison d'arrêt.
  • 25/01/1808 René Hubert sort de la prison du Mans.
  • 16 et 23/02/1808 René Hubert est condamné par le tribunal du Mans : « Considérant que Hubert père ne pouvait ignorer que [la] cache exista chez lui et qu’elle enferma son fils, qu’il est impossible qu’il n’ait pas vu son fils entrer dans cette cache et en sortir pour manger soit pour autres besoins, qu’elle était située dans l’intérieur de sa maison puisqu’elle était située sous son four, qu’enfin il est prouvé matériellement qui a recélé son fils sciemment et que par conséquent il est passible des peines prononcées par les articles 4 de la loi du 24 brumaire an 6, 13 et 14, de celle du 17 ventose an 8. Par ce motif le tribunal jugeant en premier ressort déclare que ledit René Hubert père est convaincu d’avoir recélé sciemment ledit René Pierre Gabriel Hubert son fils et pour réparation conformément aux articles cités [...] condamne ledit René Hubert à un an d’emprisonnement par forme de correction dans la maison d’arrêt établie près ce tribunal, le condamne en outre à 500 francs d’amende et aux frais de la procédure taxés à 6 francs 48 centimes. Comme aussi ordonne que le présent jugement sera imprimé et affiché dans l’étendue de cet arrondissement jusqu’à concurrence de cinquante exemplaires aux frais du condamné conformément à l’avis du conseil d’Etat du 15 prairial an 13. »
  • 14/08/1811 Son fils Pierre Jean part pour le 119e régiment de ligne. Ce régiment est engagé en Espagne. Pierre Jean devient grenadier.
  • 30/11/1813 Son fils Pierre Jean décède à l’hôpital de Dax après avoir reçu un coup de feu.

[modifier] 1815-1850

  • 5/03/1850 Décès de René Hubert à Chemiré-le-Gaudin

[modifier] Sources

  • Actes paroissiaux et d’état-civil
    • Acte de baptême de René Hubert (AD de la Sarthe)
    • Acte de mariage de René Hubert et Gabrielle Lefeuvre (AD de la Sarthe)
    • Acte de sépulture de Catherine Hatton (AD de la Sarthe)
    • Acte de baptême et naissance de ses enfants (AD de la Sarthe)
  • Actes notariés
    • Contrat de mariage de René Hubert et Gabrielle Charlotte Lefeuvre (22/11/1785) (AD de la Sarthe)
    • Montrée pour Pierre Hubert et René Hubert (1/10/1786) (AD de la Sarthe)
    • Vente par François Bigot à René Hubert d’une maison et d’un jardin (2/03/1790) (AD de la Sarthe)
    • Cession du champ de l’Autel par le curé Branchu à René Hubert (17/05/1794 ou 28 floréal an 2) (AD de la Sarthe)
    • Bail de 4 journaux de terre à Louplande par Jean Lefeuvre à René Hubert (10/04/1799 ou 21 Gal an 7) (AD de la Sarthe)
  • Autres documents
    • Registre d’écrous de la prison du Mans (AD de la Sarthe)
    • Registre d’audience du tribunal du Mans (AD de la Sarthe)
    • Tableaux des conscrits de 1806 et 1811 (AD de la Sarthe)
    • Extrait mortuaire de Pierre Jean Hubert