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Jean Baptiste Chorin (1787-1869)

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Sommaire

[modifier] 1787-1807

  • 17/06/1787 Naissance et baptême de Jean à St-Ouen-en-Champagne, dans la Sarthe. Il est le fils de Jean Chorin, maréchal, et Renée Doré. Son oncle René Doré est son parrain, et Jeanne Legit, femme de René Gaudin, métayer à Saint-Ouen, est sa marraine.
  • 27/10/1789 Son père Jean décède au lieu du Bas Gres, au bourg de Saint-Ouen-en-Champagne.
  • 16/02/1790 Sa mère, Renée Doré se remarie avec Pierre Deslandes, maréchal, à Saint-Ouen-en-Champagne.
  • 22-25/06/1790 Inventaire des biens de son père Jean. Ses meubles et effets se trouvent dans la maison de Renée Doré et Pierre Deslandes aux Êtres à St Ouen. Sa succession représente en tout 2085 livres 1 sou 10 deniers. Le quart revient à Jean Chorin fils, c’est-à-dire 521 livres 5 sols 5 deniers obole (- 7 livres 10 sous). La moitié de la succession revient à sa mère et l’autre quart à sa sœur.
  • 25/06/1790 Renée Doré s’étant remariée, elle a perdu la tutelle naturelle de ses enfants. Par conséquent, une élection est organisée entre les membres de la famille pour choisir un « tuteur à personne et biens » pour Jean et Renée. Les deux derniers jours, Michel Danjou, tisserand à Saint-Ouen, a été envoyé pour prévenir les Doré à Pirmil et Tassé afin qu’ils se présentent pour donner leur suffrage. C’est vraisemblablement parmi eux que le tuteur a été choisi puisque les membres de la famille du côté Chorin habitent loin, en Normandie.
Le document de l’élection du tuteur est à rechercher dans les archives de justice de paix, de Brûlon sans doute, aux AD de la Sarthe.
  • 23/07/1791 Sa sœur Renée décède à Saint-Ouen-en-Champagne. Jean se retrouve désormais fils unique, Renée Doré et Pierre Deslandes n’auront jamais d’enfants.
  • 30/01/1803 Sa mère Renée Doré décède à Saint-Ouen. Les témoins lors de l’acte de décès sont René Doré, son frère, et Joseph Deslandes, son beau-frère, maréchal à Epineux-le-Seguin. Jean Chorin se retrouve donc orphelin alors qu’il a moins de 16 ans. Quelles ont été par la suite ses relations avec son beau-père ? Qui s’est occupé de lui ? Tout ce que nous pouvons affirmer c’est que Jean a vraisemblablement appris son métier de maréchal avec Pierre Deslandes.

[modifier] 1807-1815 Guerres napoléoniennes

[modifier] 1807 Incorporation dans le 20e régiment de chasseurs à cheval

  • Début 1807 à lieu le tirage au sort des conscrits du canton de Brûlon.
D’après les archives, à cette époque, Jean est maréchal et habite à Saint-Ouen et Chantenay. Sans doute est-il plus précisément compagnon (ouvrier) maréchal et réside-t-il à Chantenay parce qu’il y est embauché.
Jean Chorin tire le numéro 37. Selon la décision du sous-préfet, il est bon pour le service. Il ne semble pas trop motivé pour être soldat, il demande un délai jusqu’au 28 février pour se faire remplacer. Finalement, il doit partir pour l’armée, sans doute faute d’argent pour payer un remplaçant.
  • 4/03/1807 Jean reçoit une feuille de route pour rejoindre le 20e régiment de chasseurs à cheval, à Cologne (Allemagne).
  • 1/04/1807 Il arrive au 20e chasseurs, à Cologne, en compagnie d’un autre Sarthois, François Eslain. Ils sont tous les deux incorporés à cette date.
Jean est incorporé sous le n° matricule 1074 comme chasseur de la 8e compagnie, 4e escadron.
Il est décrit comme suit : taille d’1m62 (ou 1m615), visage rond, front découvert, yeux gris, nez moyen, bouche moyenne, menton rond, cheveux et sourcils châtains, teint coloré, marques particulières : rousseurs.
  • Après le 1/04/1807 Jean a certainement suivi une formation. Par la suite, les hommes de sa conscription et de son escadron ont-ils participé à la campagne de Pologne ? A noter et à préciser :
  1. les chasseurs du 20e, conscrits en 1807, ont été incorporés dans l’urgence, suite à de lourdes pertes dans le régiment.
  2. il n’y a aucun événement relatif à la campagne de Pologne noté dans les cases matriculaires des soldats du 4e escadron incorporé à la même période que Jean.
Donc : le 4e escadron était peut-être présent pendant cette campagne mais ne semble pas y avoir participé activement.

[modifier] 1808-1812 L'Espagne

  • 1808-1809 Jean est en Espagne avec les hommes du 4e escadron. Alors que les 3 premiers escadrons du 20e sont stationnés en Prusse, le 4e a été versé dans un ou plusieurs régiments de cavalerie provisoires partis en Espagne. Il est vraisemblable que Jean Chorin ait été fait prisonnier à cette période.
Rien sur les cases matriculaires de Jean n’indique cette incorporation. Il est seulement noté que le 30/06/1809, il est rayé des contrôles.
C’est l’examen des cases matriculaires des hommes du 4e escadron qui permet de déduire qu’ils sont en Espagne à cette période. En effet :
1. 144 des 153 soldats du 20e rayés des contrôles le 30/06/1809 sont des hommes du 4e escadron. Ce sont essentiellement de jeunes chasseurs (incorporés entre 09/1806 et 11/1807). Les 9 autres sont en majorité des sous-officiers. On peut donc en déduire qu’il y a eu une incorporation spécifique des jeunes soldats du 4e escadron et que quelques sous-officiers aguerris provenant d’autres escadrons ont été choisis pour les encadrer.
2. Les événements consignés dans les cases matriculaires de ces hommes sont explicites. Ils permettent de déduire avec certitude que le 4e escadron était en Espagne en 1808. D’après les 28 mentions trouvées :
  • 15 soldats ont été faits prisonniers en Espagne
  • 2 soldats sont morts à l’hôpital en Espagne entre 10/1808 et 02/1809
  • 3 hommes sont morts suite à des combats en Espagne les 7/06/1808 (bataille de Bruc ?), 6/06/1808 (bataille de Bruc ?) et 19/07/1808 (bataille de Baylen)
  • 2 hommes sont morts à l’hôpital de Cabrera (Espagne) en 1813-1814, probablement après libération. Ils étaient vraisemblablement prisonniers sur l’île.
  • 1 soldat est rentré à Lesan en 1814. Lesan est apparemment situé en Espagne. Il s’agit probablement d’une libération de prison.
  • 2 soldats ont été promus par ordre du maréchal Bessières, commandant en Espagne, en 1808.
  • 3 étaient en prison et en sont sortis en 1812, 1813 et 1815. Mais dans quelles prisons étaient-ils ?
3. Les mentions sur les cases matriculaires des hommes du 4e escadron, incorporés à la même période, et non rayés des contrôles en 1809, sont également explicites et permettent de faire la même déduction. Sur les 57 hommes, 44 mentions :
  • 3 prisonniers de guerre en Espagne en 1808
  • 26 passés dans le 15e chasseurs le 1/04/1809, dont 1 revenu des prisons d'Espagne en 1812
  • 3 morts en Espagne en 1808
  • 6 morts à l'hôpital en Espagne en 1808-1809
  • 3 mort à l'hôpital dans le sud-ouest de la France en 1808
  • 2 promus le 13/08/1808 par ordre du maréchal Bessières, dont 2 morts à l'hôpital en Espagne en 1808-1809
  • 1 déserteur en Espagne en 1808
La cavalerie en Espagne en 1808, les régiments provisoires, Bessières, la bataille de Bruc et la catastrophe de Bailen, Cabrera … à faire
  • 30/06/1809 Jean Chorin est rayé des contrôles du 20e chasseurs. Pour quelle raison ? Généralement les soldats sont rayés des contrôles soit parce qu’ils sont perdus (du fait d’une désertion par exemple …), soit parce qu’ils sont hors d’état de servir (depuis longtemps à l’hôpital ou prisonniers) ou bien parce qu’ils ont été incorporés dans un autre régiment. L’hypothèse la plus vraisemblable est que Jean a été fait prisonnier. En effet :
  1. il est rentré au régiment pratiquement 2 ans après (12/04/1811). S’il avait déserté serait-il revenu si longtemps après ?
  2. Cela parait peu vraisemblable qu’il soit resté à l’hôpital 2 ans. Dans ce cas il aurait eu probablement une blessure grave et en serait mort, ou du moins n’aurait-il pas pu reprendre le service. Il aurait été réformé.
  3. Il n’a vraisemblablement pas été incorporé dans un autre régiment à cette date puisqu'il est resté dans le 20e chasseurs ...
  4. L’hypothèse qui subsiste est donc qu’il a été fait prisonnier soit par les Anglais soit par les Espagnols et qu’il a été libéré deux ans après, à la faveur de la conquête d’une ville par les Français par exemple. Les mentions concernant les 27 soldats du 4e escadron réintégrés ou retrouvés après avoir été rayés le 30/06/1809 sont instructives :
  • 4 hommes ont été réintégrés entre 11/1811 et 01/1815 sortant des prisons de l’ennemi
  • 12 ont été réintégrés sortant des prisons d’Espagne entre 11/1812 et 08/1814 (dont 1 était à Cabrera)
  • 2 sont morts à l’hôpital de Cabrera (ile prison de Cabrera) entre 9/1813 et 04/1814
  • 1 homme est rentré à Lesan (en Espagne semble-t-il) en 07/1814, après la fin de la guerre, par conséquent, très probablement après être sorti de prison.
  • 8 soldats (parmi lesquels Jean Chorin) ont été réintégrés entre 07/1809 et 1814 sans aucune indication de leur origine
Les prisonniers en Espagne … à faire
  • 12/04/1811 Selon le registre matricule, Jean est « rentré au régiment ». Le 20e chasseurs est à cette époque en Espagne.
  • 1/01/1812 Promu brigadier.

[modifier] 1812-1815 La Russie

  • 06/1812-12/1812 Pendant cette période, Jean Chorin et les hommes du 20e chasseurs participent à la dramatique campagne de Russie. Le 20e régiment de chasseurs à cheval fait partie, avec le 7e chasseurs et le 8e lanciers polonais, de la 6e brigade Corbineau, dans la 1ère division de cavalerie légère du 2ème corps d’armée commandé par Oudinot puis Gouvion-Saint-Cyr. Le 2e corps à une position à part lors de cette campagne. Pendant la progression et la retraite de l’armée, ce corps d’armée se bat en Biélorussie. Il rejoint le reste de l’armée à la fin de la retraite et joue un rôle important lors du passage de la Bérézina. Pendant la campagne de Russie, le 20e chasseurs participe à plusieurs batailles : la bataille de Jakoubowo (30/07/1812), la bataille du passage de la Drissa (2/08/1812), les deux batailles de Polotsk (16/08/1812 et 18/10/1812), le combat de Borisow (21/11/1812) et la bataille de la Bérésina (26-29/11/1812). Dans la mesure où Jean a été fait prisonnier à une date indéterminée, nous ne saurons jamais comment il a été engagé dans ces événements.
Le parcours du 20e, ses batailles … à faire
  • 1812 Jean Chorin est fait prisonnier.
A quel moment ? Evolution des effectifs et des condition de vie des hommes du 20e selon l’historique du 20e par le lieutenant Aubier … à faire. Sur le total de 690000 hommes que comptait l’armée de Napoléon, on estime le nombre de tués, disparus, blessés ou prisonniers à 580000. D’après Pigard, il y aurait eu 170047 prisonniers… à faire
Jean a été fait prisonnier entre 06/1812 et 12/1812. Il est revenu en France en 01/1815. Il a donc vécu hors armée en Russie pendant au minimum deux ans, en 1813-1814. Quelles ont été ses conditions d’existence ? Différents témoignages évoquent des situations très difficiles voire horribles : les interminables marches forcées vers la Sibérie, les soldats français que les paysans russes achètent pour les torturer, le froid, la faim … Mais leurs vies ne semblent pas avoir été faites que d’horreurs. D’après Sirotkine, une partie d’entre eux passent l’hiver 1812-1813 en trouvant refuge dans les châteaux (les officiers) et les fermes (les soldats), les uns comme précepteurs et les autres comme valets de ferme.
En 1813-1814, la guerre continuant, les autorités russes doivent se résoudre à garder sur leur sol 200000 à 210000 prisonniers de guerre (« officiels et non officiels »). Ils décident donc d’intégrer ces hommes à la nation et à l’économie russes. En 11/1813, est publié un oukaze du Tsar qui propose aux prisonniers la citoyenneté russe « provisoire » (2 à 3ans) ou « perpétuelle ». A cela s’ajoutent des libertés et des facilités : liberté de culte, exemption de service militaire et d’impôts pendant 5 à 10 ans… Les artisans avaient le droit d’ouvrir des ateliers. Ceux qui voulaient travailler dans des fabriques, le faisaient selon les modalités d’un contrat d’embauche (ce qui était inconnu par les travailleurs serfs russes). En 1814, presque un quart des prisonniers devinrent sujets du Tsar, la majorité prenant la citoyenneté provisoire, et 200000 hommes ont été versés dans l’industrie, le commerce et l’agriculture.
En France, lorsque les Bourbons reviennent au pouvoir, ils entreprennent d’actives démarches pour les faire revenir car le pays manque de bras. Dès l’été 1814, ils font passer dans les journaux russes des appels au retour. Les hommes, dans leur grande majorité, y répondent. En automne 1814, un premier convoi de trois bateaux transporte 900 prisonniers en France. A la fin de 1815, l’écrasante majorité des prisonniers est de retour.
Quelques questions sur le cas de Jean Chorin :
  • A-t-il vécu des situations très difficiles ? … à faire
  • Est-il devenu citoyen russe ? C’est possible … mais si c’est le cas, il a vraisemblablement pris la citoyenneté provisoire. Il est revenu tôt pour quelqu’un qui avait envie de s’installer en Russie (le retour des prisonniers s’échelonne entre l’automne 1814 et fin 1815 et Jean est revenu en 01/1815).
  • A-t-il travaillé en Russie ? Sans doute a-t-il travaillé comme maréchal puisque c’était possible pour des artisans français d’ouvrir des ateliers ou de travailler comme ouvrier.
  • A-t-il hésité à revenir ? Peut-être mais pas longtemps semble-t-il puisqu’il est parmi les premiers à revenir.

[modifier] 1815 Incorporation dans le 2e régiment de lanciers

  • 29/01/1815 Rentré des prisons. Incorporé dans le 2e lanciers régiment de la Reine.
  • 18/06/1815 Probablement à Waterloo avec le 2e lanciers.
  • 3/12/1815 Rentré dans ses foyers.

[modifier] 1815-1831 Installation à Saint-Ouen-en-Champagne

  • 1815-1819 Jean Chorin est rentré à Saint-Ouen-en-Champagne, mais à quelle période ? Aucun élément ne nous permet de dire ce qu’il a pu faire entre 1815 et 1819.
  • 19/04/1819 Mariage de Jean Chorin avec Marie Hérisson, cultivatrice, fille de Jean Hérisson et Catherine Chanteau.
Sont présents au mariage, du côté de Jean Chorin, trois cousins germains, René Doré et Julien Doré, cultivateurs à Chantenay et François Doré, cultivateur, et du côté de Marie Hérisson, son oncle Jean Chanteau marchand à Vallon, et ses deux neveux, Julien Thibaut et Joseph Cesneau, tous deux cultivateurs à Saint Ouen.
  • 19/09/1821 Jean Chorin et Marie Herisson, demeurant au bourg de St Ouen, achètent à René Joyeau et sa femme Emérance Jouy :
1. «Une maison manable, nommée les Grands Ormeaux, composée d’une chambre basse à cheminée, boulangerie au bout, chambre froide à l’autre bout, cave sous solive sous la chambre froide, deux chambres hautes à cheminée, grenier dessus, portion de la cour donnant sur le derrière, un toit à porcs dans la dite cour ; Plus un jardin clos à part contenant environ deux ou trois journées d’homme bêcheur et donnant sur la dite cour, ensemble toutes les issues qui en dépendent et la loge qui s’y trouve », le tout situé au bourg de Saint Ouen.
2. «Une maison à cheminée, une écurie au bout, grenier sur le tout, cour au devant, le tout se joignant », situés au bourg de Saint Ouen et loués au Sr Gauclin (bail que Jean Chorin s'engage à maintenir).
La vente est faite moyennant la somme de 2000 francs que Jean Chorin promet de payer le 1/12/1822, avec intérêt, à raison de 5% par an à partir du 1/10/1821.
  • 22/09/1821 Achat par Jean Chorin et Marie Herisson d'une portion de terrain dans le cloteau de la Cronerie à Saint-Ouen-en-Champagne.
  • 21/10/1821 Vente par Jean Chorin et Marie Hérisson d’une maison nommée la Butte et d’une portion de jardin au Sr Jean Mauboussin

[modifier] 1831-1861 Notable à Saint-Ouen-en-Champagne

  • 18/12/1831 Jean Chorin devient 1er adjoint du maire de Saint-Ouen-en-Champagne.
  • 15/05/1833 Achat par Jean Chorin et Marie Herisson du champ de Fosse Moran à Saint-Ouen-en-Champagne.
  • 23/02/1840 Acquisition par Jean Chorin et Marie Herisson des champs de la Varenne d'en haut et d'en bas à Saint-Ouen-en-Champagne.
  • 6/05/1846 Marie Hérisson décède à 10h du soir en sa demeure du bourg de Saint-Ouen-en-Champagne.
  • 30/07/1846 Inventaire des biens dépendants de la communauté de Jean Chorin et Marie Hérisson.
  • 20/08/1848 Jean Chorin est élu adjoint du maire de St Ouen en Champagne.
  • 31/01/1850 Jean Chorin fait la donation anticipée de ses biens à ses fils.
  • 29/07/1852 installé dans les fonctions d'adjoint du maire de St Ouen en Champagne.
  • 11/07/1855 installé dans les fonctions d'adjoint du maire de St Ouen en Champagne.
  • 1857 Jean Chorin est décoré de la médaille de Ste Hélène.

[modifier] 1861-1869

  • 17/06/1869 Jean Chorin décède à deux heures du matin au domicile de sa bru (très certainement la femme de son fils ainé) au bourg de St Ouen. Le lendemain Prosper Chorin et Alexandre Marquis, l’instituteur du village, en font la déclaration auprès du maire Eugène Chorin qui inscrit l’acte de décès sur le registre d’état-civil à sept heures du matin.

[modifier] Sources

[modifier] Actes paroissiaux et d’état-civil

  • Actes de baptême, mariage, décès de Jean Chorin
  • Acte de décès de Marie Hérisson
  • Acte de décès de Jean Chorin père
  • Actes de mariage et décès de Renée Doré
  • Acte de décès de Renée Chorin

[modifier] Actes notariés

  • Jean Chorin père :
    • Inventaire après décès
  • Jean Chorin et Marie Hérisson
    • Acte de vente d’immeubles entre René Joyeau et les époux Chorin (19/09/1821)

[modifier] Documents militaires

  • Tableau de recensement des conscrits de la classe 1807
  • Contrôle des conscrits dirigés sur le 20e régiment de chasseurs à cheval stationné à Cologne
  • Cases matriculaires du 20e chasseurs de Jean Chorin

[modifier] Documents relatifs à la vie publique de Saint-Ouen-en-Champagne

  • Extraits du registre de délibérations de Saint-Ouen-Champagne (Archives Départementales de la Sarthe). Voir les extraits.
  • Documents relatifs aux élections de conseillers, adjoints et maires de Saint-Ouen-en-Champagne (Archives Départementales de la Sarthe). Voir les extraits.

[modifier] Ouvrages, articles

  • Prisonnier de guerre (français) dans le Dictionnaire de la Grande armée / Alain Pigeard.-Tallandier : Bibliothèque napoléonienne, 2002
  • Prisonniers de guerre dans le Dictionnaire Napoléon / ss la dir. de Jean Tulard.-Fayard, 1999
  • Prisonniers de guerre français en Russie / Vladlène Sirotkine dans le Dictionnaire Napoléon / ss la dir. de Jean Tulard.-Fayard, 1999